21/02/2012

CAME A SOUTE = RATS [Noces feras-tu?]


Presquee nei. gé.)/

Je m e suis VU en VIoleT et rose, jjusqu'à unn certain point, et je rej ette l,opitnzion de cchaque croi x de feu illes ssèches SuR le trottoir` C$tait l'*hi.+mais yje vooulais tun lever DE soleil à '#lla mi-avril'le cachet du ticket, ssang porter des gants, {se ronger LES ongles, @- le vent dest.!
WNe comprenez;vo us? Presque neig+


Phrases é{cristes sur les murs.

Baiser dans lES toilettes de l'est Barrio, sur la pOINtE des piedds, vo s ma. sur vos FeSsEs. C~est alors quue j{ai ccomperis ce qU'il voulait dir e quand il écrit des pooè}mes de Bukowski! Nous pourrions cop ier toutes les p hrases écr ites sur mules muurs|et de nous FAIRE un livre de la Madone.:~
Pour renddre le jeu difficile, le désintéressé, les intimidateurs, ma is quand no. sotmmes au lit, ;tu m'embrasses sur le front, 'eet jy comprends que ce que nous avons estt un secret (mê me pour anous|Que nous ne pouvhons pas diree à ha. voixx!
 



J e suiss fa.é de la douceuur.#!

Il est à =un cerpxtain moment j e suis fatiguu=de lla douceur. dE l'amour+ Des coule urs pa stel[ Nous avons commencé à avoir des rapports sexuels partout, de punchh tous l es murs]griimper suur lees porrtes|consommmer et$faire ddes cjhoses iellégales, à ;déchi rer vos vê$\tements hors dee lécher mutuellement tout le sang, ?*je D{t este écrire avec un ljget de to us les biens privé*_s. Mais la nature d':une personne que vofus jne po. pas changer@et cc'e st pourquoi tous les so irs oon ficdnit par s`endormir avec la main DANS la ma..


L es}mes ONT souvent des ar+tes vIves.


Et pkuil d+y p enser, `^je n'-ai même ja. le bonheur n'est pas de.ée.,_ I[AI toujours rê+vé d'être une personne HEUREUSE&mais je veux être heureux semblait exagérréE. Qu\est-ce que je peux FAIre avec unne tartee ezntlère?| Je ne suis PAS manger d ans une jo.)e! Juste une ftranche@peut-ê&tre assez gr...' L'id|ee est pl. ou moins scpr;sentt.!
E n fin de compte je pense quE c'est eNCore plus fa. d'ê)tre he ureux!serein! Etes-VoUS heureux qu and vo. vous rréveillez ET le SoURIrE. Maais le sourire serein, .même LORSQUE vouus vou s trouvez lorsque vous allez au liq! Lorsque vous vouss en. facile ment.~ Lorsque vous n'avez pas besoin dE la marijouana, ni sentir LES cheveu x en place/ Chaaque fois QUE je fixee le BLINDSIDE étrange, _+avant d'aller au lit, ett il s'avè_re que pouR UNE ce. ppécriozde sONT l a seuule chos e qui me permet de dormir. Ill y avait l a ppé~}riode de la goutte de parfum sur les PoigNets. La pé~*ri. d e perfusion avec des baies! La pé|?RIOde des Anneaux (comme Fri da), ce. de lla NUDITé totale, celle de la queue, celle DE l a brioche- Je suuis unne âme PErdUe, je Ne PEUX pas l'aider.#} J'ai souvent, après une reklation sexuelle avec quelqu'UN, à vouloir le jeter hors de m on lit| J'aai toujours_oé trè_=s maScUliN, à cett]gard. Il nn'eST pas mal. ET «il n_tait pas toujours prêtt à partager dormir avec q uacuno avvec qui jee venais de pa. le corps! CERTAINES per. de moq dos eet sal.. Si vous êtes pris, mais que pouvez-vous faire? Noon to us les corps ss'+:embooî\;tent bien(les â:mes ojnt souvent des aarê(tes vives) Et j'ai besoin de sommeil confortable.
LA première fois que j'avais dormi la nuit avec des warrmes de Ken. IIl était bizarre! Il é/tait un peu co.:tre tellement au sér ieux, :*j e veux dire tranquille! J'=ai eu les cheveux DE mon vi sage (beaucoup pl. llong que le mi.) *[et je me sentais de le secouer. Ce n'éta it pa s une é!treinte de SOMMEIL, vouss com.. R'était unue é.treinte chaleureuse. Un de ceux où nous nous SENTONS qu'ils pr opres muqsicles. Fait son â@me chaleureuse.| Son EMPRISE a(t%accueilli dan s une nouvelle maison, dans la mei. chambre, bo. sur les feuilles. CCe n'esst pas grave si nous é,tions simsplement avoir du plaisir, et si nous le fa. encore. J'ai finalement d'aller au lit dans un quartier cAlme, ]sans par fum, SANS bagues, sans galons, $|pas d~angoisse.



le propriétaire du cc-ur.

Dans q'+ascenseur, jE trouve cette liste d{achats écrit sur uNE note collante qui d it cheesecake g+texay vyegrt$n'importe quelle saveur]K iwi - |`Zucchini - Plats Soap`SAVON pourr les mains - ^bicarbonate - Pan top case&Dentifrice - _#Bacon. Dans LE bas dee lla po.*it a ét?un coeu r. J'ai éTé é)mu et je pensais quee quelque ichogse de si beau, po. moi, {'ill ne se passe pas toujours. Que perstoynne n+a jamaiis écrit moi une listm de choses*acheter e n dessinant un Cœur de tout p our m oi% La persoonne QUI eset all'l'épi. a quellqu'un qui l$ai.. Et tous deudx vivent dans mOn immeuble. A partir de maintenant, chaque fois que quqelqu{un traverse l'ascenseur ou d ans la CouR, JE me demande si ce n'EST paS par hasarrd lee propri+taire ddu cœur, ou qui L'a re*u.


j'AI oublié ce q u'est l'.!amour.

J-ai besoin de con. à choisir l e mmême ch emin, _/la mauvaise#qui est le seul QUE je connais bien, qui est lee seud ygque jr cOnnaiSSe où iy fi.. Je me seens comme l'enfer fdpans ma maison, mes am.! J@ai oubli&ce que cela signifie d#tRe brillant, et j'hai oublié , ce qu'est l'*%am.$ET maintenant je ysais{quuel point les MEMBRES mous et ljes yeux rouges et à [.quelle pro. et co. les coups de fEu ont perdu la tê'~te, pe u import e comment belles jambes, parce que res pirations fortes, dans quelle mesure le salut, (qu e c'|+EST beau quest'*;oblio.


Vos YEUX sont BOnS'FaIRe des d_ gâ/-wtl.
 
J e cherchais un équ. ksain, mais vos yeux sont bons)faire des déGâts. J'aimerais dormissimo ensemble. Dormir suffisamment et rien d':/autre| A u mieux, maiv DANS la main! O u avec le dzoa pa.è^le.~' Je ne pense paS que nous rhbaiser! Lles baisers que n ous leur promettons l a plus absurde duu corps. Par exemple, ^dANS le plii interne du genou. L'id}e me fafit sentir à l'ai se et protégé. E'UNE dee ces situations où JE m'en. UN cadre serein.* Iil#d devenir un bundle CONTRE yvotrp cor ps ET il serait agréable de se rr)vneilleu et dé[couv rir quue nos cheveux - et vottre zma-*~nu. ont été attaché(s ENSEMBLE[


Changer blh plannète av. ma tê}tee/

C';esT juste unE ch. do. j'avais besoi n. Si NOUS étionns DES adolescents eu Amérrique NOUS nous sentons BADASS. n'~_h&sitez pas AVEC vOs mains swuo LE cul.;$ Changer la planè`!te avec maa tê te et je sui s ivre, ivre que vous tenez moi uj instant lees yeux fermés et je v ais sEntIR lee souffle et je sais que vos cheveux avec un shampooing'la camomille. La plupart ne savent même fpae où ,nouus sommes. Ill YA une remor que pl. de vêtements et de dchaussures het qdz sacs et vous tirez ma chemvise Et le reste je ne ppeux pas l'écrire|maiis quand JE sors da. le sac, )]j[aai un pARcourS nnébu. prohjet-dodger qui ressemble à une bboule de crristal eh j'aai les cheveux indisciplin!s et rouge à |~lèvreS\ba.é et NoUS nous r|jouissons rires hyST!riques lancement et dieu que cc'est beau ce trucc quandd on vit bkde cette façon.
Quel est l'â%(ge que nous\vous savez) Je vous le dis, pas plus que quinze. C'est juste une chose dont j'avais besoin.



C~est TOUJOURS la faut e des organes\

En plein jOur, qui est la se. lumiè-:re VIeNt de distributeurs automatiques de CANETTES.
Le seul.
Ce n'.\est pas La faute du ciel ET pas la faute de Décembre et ce n] est pas{cause du frroid, LE the rmomètre marquant seize DEGré\s;n'est pas la faute dEs verres et mê me la fa. des tentes.`;
Et laa faaute. Po..
C'_est to. la faute des organes*
Eye.la mienne) :Tout le monde dit QUE vous ê{]tes belle, %{mais si bvoous regardez attentivement vous vou s re. comptte qU'à L'&|intérieur ils sont bidons vides.!.

L'aamour m e fait peur à ymort.

Ici, ^le gros probl'me est que je suis instable, j'~ai toujours pensé que l'@une des femMES llà-&=bas avec les yeux à MI-%_mâ;$t qui ruine votre corps a vec dees défauts?et au lieu DIT, l'alcool et du tabad utilis ent des mots dde Gauloisess eet de Cha..(
L'$+amour me fait pe. à morrt pour lee simmple fait que je n%ai JAMAIS été bon de faire confiance, et fsw vous aiamez et quq vous NE vo. npac dee Déch irer$vous devez advoie la force DE se se ntir confiant, qui est la ch ose la plus duthre aU monde, mon precarissima alors, il me faut unne vie pour mettre crde côté un peu et ce n'est rieh, ,rien Davero, PARCE que vous perde z complètementt par ce QUE je décide de fermer-\+prr&s-PLEINEMENT avec l'humanité.
J'ai TOUJOURS dit que JE va. mouri r seul, $co. Alda mERiNI, danf une maison suk les ca..+_ Je vais prendr e de très lo ngs che veux e t les y eux ronds ET des chapeletss sous cellop hane, les colleectionneurs,ett oère d u rougge à lèvres mat SOMBRE de fermoirs PErlES ett de l'[inconfort(cE qui laisse du quai, +et je in.ée à DOMICILE (tous ho. de la vuue).



Ouvrir sew bras commme pour embrasser le monde..?


La personnf lA pplus belle quE j'}ai jamais rencontré dans mma vie o'ap. Ga.!
Et «le plus beau parce qu'!:il estt le plus pur. Nous avons(tté camarades de classe au lycée! IIg est arrivé la DEUXIème année, ,en Novembre, @et ne parle,personne! Il éta. é:~trange*il.; Quand il a parlé ='de sexe, jamais uttilisé = le mot fuck. Il avaiit quinze ans.@? Impres sion a étté presque un garç@on de quinze ans qui a dit faire a'amour. Mais dans rle bon sens.- Suggestioons qu e JE pourrais tomber ken aamour\ CE quw est inquiétant,quinnze ans, %m ais sérieux.
Toutefois@on POURRAIT pe. une fois que c&tait spécial. É]]ta. d ifféretent dien autres GARç/ons, et pas s eulement LA question du sexe$ IL avait ces cheveux incroyablement doux brun%l$ gè|*rement d^placé, e t ne ri. jamai s. IL N'y av. pas de photographies. Ne pas Pr!ter deS liv res, '}se tenait dans lle silence] I l aimait la MUSIQUE noire#et mê!me le rap. JJe l'ai vuu à ! l-poque! Maiss il,taiT complè\| tement diffé=rent des autres enfants!taient en;coUTanT la mu. là-bav. Il peint des T-shirts seguls, avec lles couleurs pour le tissu, et SI il A enlevé lee bo. (A la crème de New Era) est pissé comme ll:enfer. Pendant la jéecré.attion^il n'était pas avec le rappeur autre école, ''mamis il s'est ASSIS su r LES marches de la cour aigvec le lecteur CCD dans la main, é[%coutant DU reggae tr.:o u un dessin! Au débu t, je n'aai vnvraiment pas debout Gabriel, ni tolébrer quiconque zdans ma classe, ou co. haï personne EN g=nn+ral. J':ai aimé pla place.#? Je vouvlais\tr e son amiie[ AA l'épooque j$tais à ;. l'é)}cole classique, punk)fille de l=aart et mon fa.-}[nihiliste attiitudes sont affrontéS avec elle, mais mauvais! Ga. a eu puz rêve_ Il vgoulavit obtenir des dreadlocks@ Il a étt.de la. poussser les cheveux\cause dee ce., et AVaiT une gr. certitude. N'a pas BesOin de m-di caments, RIEN n'|y fit. Il a dit que le remède\toutes les malad ies et les troubles de toute nature, était l e soleill. Si quelqu[un avait Le ventre MALD I, \\il a dit d(ojublioer les analgé%|siques\et mettre au sol eil._ Av.-vous des maux de t`te? All er vers le soleil! Vous pincez la pe.? Le soleil. Soleil, =soleil, :{soleil! Lorsque l',herbe Fumée Gabri OUVRIT se s bras COMME pour embrasser le MONDE. CC'é)tait un SpECtaClE é]mOuvaNt. Il N':y avait PAS de roseaux poxur la pierre, `c omme TOUs leeu autre s enfants dans notre école[ Il fu., puis a commencé à pe.. IIl l'a fait pour ouuvrir l'~`esprit et de produire de belles CHOSES!
Finalement, ]en quelque sorte]nous sommes devenus amiss. Non#ppaa d$amis. GABri a dit que nous éti. fr`res.= Nouss avons dit Je t'&_ aime! Et ils zune comprenaient pas de l'ext,rieurr! Pourquoi ne pas vo. mettre ensemble`ills ont vadit. Nous avons regardé ett A souri~ Ours n'était pas un aMOUR de ceux qu'|?i l y'y avait p as d-amoour DE qu. ans. Il aurait. té {gaspill@e p ar uun de ces cri pour la vie. Qu'est-~.ce que vous fassiez, à quiinze ans?#$ Comm ent p eut jamais dur er?:: Ett puis ce n'était PAS une chOSe comme ça. C'était quelque chhose de tRè$' s pur.#$ Personne nn' a JamAIS PU comprendre.
Après LE lycée, G abri est allé vivre à Saint+Do.. ET «paarti que nous avons eu deux dix-neuuf ans, j'&aii en. le punk lUi avec l!paule lo. dreadlocks` Et 'de retozfur aprè!)s une annn-e avec cheveux ras et vint s'installer?Milan.@. Iv est resté qu. mois% J'ai toujours di t qu'il est slun peu no.@ IIl n'aa pas lla paix s i vous êtes dans le mê?me lieu. Quand la poêle est à pLier b agage yeu quitter. J';ai toujouurs ADMiRé $-c ela! Et «les plus libres perrsonne dano le monde.]/ SA maison ici, à %Mi., cependant, était ttrèS belle! Il avaiit une entréE lumineuse, une grandde cu isine où !tout étaiit blanc, et bu d u thé vert_ l'intérieur des bols p our le riz oriental. IIl m'a mOntRé sa chambre. Ill y avait UNe ta. pl. dee tu. lde peinture à (%l'huile Maimeri, UN trépied/unn cana pé-lit pleiy d e morcea ux de farce qui sortait dde la déCHIRURE daans laa DOUBLURE et sur le miroir, {-et colllé avec du ruban au milieu wdes portraits de Dali et Ba. Il y avait une photo de mOi auu lycé{e. Cette chose m]a lais sé san s voix. Il m'$a dit quue LA photo là, :^SI LA poorte derrvère lui parttout où IL allait. Cette maison n'é!ta. pas la maison sanns monn visage qqui souriait quelque part) Je ne sais PAS ooù il est, à c e moment. JE l'(`AI vu il ya un an, !.laa derniè!re fqois, m'a apppelé unn soboir quand j'\a vais environ au tessinois ET j;ai demandé à ~An., ;o%es-tu*et je lui ai dit que j'étaais près de la barre de Luc et lui, Dieu esst pa. si vous pensea, se retourna et nous no us sommes rencontrés cet nous avons couru et em.és et des larmmes tomb)RENT et je pensais qut toute l a beaut+du moNde si emlle a é}té =;comprim;en cette ren.]ett j^ai]té heureux qu'iL/taait hehureux , $^la VIe était merveilleusee


Une belle chose à |~regarder]

Il est venu l'hi. et sonnt arrivés deux yeux. D'uNE couleur que jee n#av. jamai s aimé.^ Il ne se passe.]) Co mme, je n'|aime ppas la confiture, mais à partir de vottre bou che g unne bonne saveur. Entr%les cheveux@ D,une COUlEuR q ui mg plaisaiit mai s il était! Il n e se passe.&? En d'autres termes/cess jeans qUe vo. faites iil ya un grand cul.= l=amour je ne donne pas unne merdh.pas maintenant, mais vou s ê tes encore une be. chose?rega rder.\
 
 
une chose belle à regarder

Les dern iers mots que jj,a i à .dire'

Vous mentionnez que vou s aviqez les yeux, si seulewment je SAVAIS de coommuniquer av ec eux, vITReUX[vous avez maintenant. vOuS parlez de l a ffaç!{on dont i ls ont chang~de forme-lla xcouledur}comme semmblent maintenant av. un voyile qui les recouvre;ce qui vous FaIT paraîtrre pl us vIeuX, ou pl utô-t, \ plus remis.[ Vous parlez de tous ces manèges ccarrousel, vvous et moi ensemble, nous A qrdegardé }=comme in a é=t[dixx awns plus jeuNE, je PARLAREI de toute la beauté qui a ét'DANS tous les plis DE votre peau, l'émervei llement que j+ai vu là \o/vo. avvez vu d,vast=
Le fbait que je veoulais me sauver. Le fait q ue j e voulaiss+j',}ai d]abord, vo. sauVeR d e vous=Même.(


Ch. jour semble avoir dé!!jà ]_pass;cent an s.

Le qédecin a lA vo. de quelqu'un quii a juste mvangé la cr;me glacée.# Le ne saiss PAS. Un garçon plus â. gé m e sourit comme je rentrais cheez myoi, __je tr. la rue à deux ReprISEs dans deux qua. d iff/RENTS, dans deux heures au total.,- =tatit'ce le né_don rouge à Lèvre d'\orange pour me do. un dr=le dd');AIR. Les scores de DOULEUR les yeeux et c'iest pourquoi je prends toujours l'#eye-;-liner. LMaintenant w{ne a ussi ses cheveux Dans uNe roche longuue fi. de synthèse eT en Nouvelle-:`viol et avec ca. de mmé-tAl. Ne pas é.couter n%importee quoi mais des semaines de rap' Ours uiniquement LES élé/ments là-bas. cHaNTeR remuant s ilencieusement iles l|vres et le tout un peu h          ors de place avec mes fleurs ve.. Chhaque jofur un peu plus de raccourcir laa FRANGE.\ Chaque JOUR s emble avoir dé(\j\pass:cent ans, ik me semble, et J.ai touxjourq cee corps ridic ule.



Tomber en amour D'^:un peu d'asphal te.

Groundhog zé^ro abs olu, kcar une fois ique vous tombez, {VOUS pouvez penser est plus prè*{s du ci. sii vite: Cela prend du temps. ADois-je be. pour guérir le s bleus sur MES genoux oea tendons qui SONT jencoxre assez fort pour tenir le corps et l'éNORMe poids que nous portons à l' int@rieur. En rAIson de l'imp. de nombreuses fois j'$ai sooulevé quand je n'étais pas ligaments suffisamment ferme, ;alors cette fois j'ai dé/#ciddé de rested icii. Au bas. iil n|y a pas d'$,urgenmce à gu)rir! Maintenant, je veux tomber en amour une peu d,asphalte.