28/02/2008
L'idolls des John's
Toutes les choses vont une poursuite, en terre, ou mer, ou air,
Le hath de Dieu n'a rendu rien simple mais le thee en son monde si juste !
La mariée, et puis le marié, les deux, et puis celui, Adam, et Eve, son époux, la lune, et puis le soleil ;
Le doth de la vie prouvent le précepte, qui obéissent heureux d'être, qui ne servira pas le sovereign, soit accroché sur l'arbre mortel.
La haute cherchent le modeste, la grande cherchent le petit, aucun ne peut pas trouver qui seeketh, sur cette boule terrestre
La cour de doth d'abeille la fleur, la fleur que son costume reçoit, et ils font le joyeux mariage, dont les invités sont cent feuilles ;
Le doth de vent courtisent les branches, les branches qu'ils sont gagnés, et le demandeth affectueux de père la fille pour son fils.
La promenade de doth d'orage le bord de la mer ronflant un air triste, la vague avec l'oeil si songeur, looketh pour voir la lune, leurs spiritueux se réunissent ensemble, ils font leurs voeux solennels, pas plus il singeth triste, sa tristesse qu'elle le doth perdent.
Le ver que le doth courtisent le mortel, sinistres survenus une mariée vivante, nuit au jour est marié, matin au crépuscule ;
La terre est une joyeuse demoiselle, et ciel un chevalier ainsi rectifier, et la terre est tout à fait provocante, et beseemeth en vain pour poursuivre.
Maintenant à l'application, à la lecture du pain,
À apporter le thee à la justice, et à rassembler thy âme :
Art de mille un humain solo, un froid d'être, et seul,
Se faner n'ont aucun compagnon aimable, reap'st de mille quel hast de mille semé.
Heures jamais silencieuses de Hast, et minutes tous les trop longs,
Et une affaire de réflexion triste, et de pleurer au lieu de la chanson ?
Il y a Sarah, et Eliza, et d'Emeline tellement loyalement,
Et Harriet, et Susan, et elle avec les cheveux de bordage !
Des yeux de Thine sont tristement aveuglés, mais pourtant ils voient les six vrais, et jeunes filles avenantes s'asseyant sur l'arbre ;
Approcher cet arbre avec prudence, puis vers la cime lui montent hardiment, et saisissent mille lovest, ne laissant ni le soin pour l'espace, ou le temps !
La soutenir alors au Greenwood, et construire pour elle une tonnelle, et la donner ce qui elle asketh, bijou, ou oiseau, ou fleur --
Et apporter le fifre, et trompette, et battement sur le tambour --
Et offert le monde Goodmorrow, et aller à la maison de gloire !
26/02/2008
S.O.S. I-(r)radiés 31
Vivant en couples avec n'importe qui
Avec les arbres doux-boisés
Avec des monticules de terre -
Monticules de la paille de pin
Animaux légende de leurs noms propres regardant au loin:
Dans l'obscurité de foin-tunnel
Et le fumier des granges,
Elles disent : J'ai entendu dire.
Cela dans un musée à Atlanta
De dos, manière dans un coin quelque part
Il y a cette chose qui est seulement
Demi-mouton comme un bébé laineux
Mariné en alcool parce que
Ces choses ne peuvent pas vivre sans yeux
Soyez ouvert mais vous ne pouvez vous tenir de regarder
J'ai eu des nouvelles de quelqu'un qui…
Mais c'est maintenant presque tout
Allé. Les garçons ont pris
Leurs propres épouses vraies dans la ville,
Les moutons sont sûrs dans la colline occidentale
Pâturage mais nous qui sommes nés là
Ne sommes toujours pas sûr. Sommes nous,
Puisque nous nous rappelons, rappelés
Dans la poussière terrible des musées ?
Simplement avec ses yeux, le mouton-enfant dit :
Enonciation :
Je suis ici, dans la maison de mon père.
Qui est moitié de votre monde, qui est venu profondément
À ma mère dans la longue herbe
Du pâturage occidental, où elle s'est tenue comme le clair de lune
Détectage à l'oreille des renards. Il était quelque chose comme l'amour
D'un autre monde qui l'a saisie
Par derrière, et elle a donné, pas Iifting sa tête
Hors de la rosée, sans regarder jamais, son meilleur
D'Individu à ce grand besoin. Tournée lâchement, elle a plongé son visage
Plus loin dans le froid de la terre, et dans un bruit
De sanglot, de quelque chose trébuchant
Loin, elle a commencé, comme elle doit le faire,
A me porter. Je me suis réveillé, mourant,
Dans le soleil d'été du flanc de coteau, avec mes yeux
Bien plus que l'humain j'ai vu pour un instant le flambage
Du grand monde herbeux des deux côtés,
Homme et bête dans le rond de leur besoin,
Et le vent de colline a incorporé mes laines,
Mon sabot et ma main se sont étreints,
J'ai mangé mon repas
De lait et de mort;
Regardez dans l'herbe foncée je suis venu directement
À la maison de mon père, dans la poussière
Mouvements giratoires montant dans les halls pour aucune raison
Quand personne ne vient empilant profondément dans un coin doux atroce,
Et, par mes eaux immortelles,
Je rencontre l'oeil des grains du soleil
Pour observer, et ils échouent à mon cabinet de verre.
Mort, je vis le plus sûrement
Dans les esprits des garçons de ferme : Je suis lui qui conduit
Comme des loups la chienne et le veau du chien
Et de la brebis chaste dans le vent.
Ils entrent dans des bois dans des champs d'haricot profondément
Ils disparaissent, dans leurs mains droites inconnues. Rêvant de moi,
Ils gémissent, ils attendent souffrant
Eux-mêmes, se mariant, soulèvent leur porte.
20/02/2008
Combustion des lettres
J'ai fait un feu ; étant fatigué
Des poings blancs de
Lettres et leur hochet de mort
Quand je suis venu trop étroitement près de la corbeille à papiers
Qu'ont-ils su que je n'ai pas fait ?
Grain par grain, ils ont roulés
Sables ou rêve d'eau claire
Je ne suis pas subtile
Amour, amour, et bien, j'étais fatigué
Des cartons couleur ciment ou d'une meute de chien
Se tenir dedans c'est de la haine
Faiblement, sous une meute d'hommes en vestes rouges,
Et les yeux et les temps des cachets de la poste.
Ce feu peut lécher et faiblir, mais il est impitoyable :
Un casier en verre où
Mes doigts entreraient si bien Qu'ils fondent et fléchissent, ils ont dits
Ne pas toucher.
Et voici une extrémité de l'écriture,
Les crochets vifs qui se plient et se tapissent et les sourires, les sourires et au moins ce seront un bon endroit maintenant, le grenier.
Au moins je ne serai pas ficelé juste sous la surface,
Poissons sourds-muets
Avec un oeil de bidon,
Observant dans des reflets,
Monde Arctique
Entre ce souhait et ce souhait.
Alors, je pique les oiseaux de carbone dans ma robe d'intérieur.
Ils sont plus beaux que mon hibou sans corps,
Ils me consolent, Se levant et volant, mais aveuglés.
Ils s'envoleraient, noirs et scintillants, ce seraient des anges de charbon.
Seulement, ils n'ont rien à dire que personne.
J'ai veillé à cela.
Avec la crosse d'un râteau, j'écaille des papiers qui respirent comme des gens,
Je les évente dehors
Entre les laitues jaunes et le chou allemand
Impliqués dans lui est de rêves bleus étranges
Impliqué dans un foetus.
Et un nom avec les bords noirs
Se fane à mon pied, Orchidée sinueuse
Dans un nid de racines-cheveux et de l'ennui--
Yeux pâles, gutturales en cuir verni !
La pluie chaude graisse mes cheveux, rien ne s'éteint .
Mes veines rougeoient comme des arbres.
Les chiens déchirent un renard. Est ce comme ce qu'il est
Un éclat lui et un cri Qui se sépare de son sac déchiré et ne s'arrête pas
Avec cet oeil mort
Et l'expression bourrée, mais continue
Teignant l'air,
Disant les particules des nuages, les feuilles, l'eau
Qu'est-ce que l'immortalité. Qu'il est immortel.
13/02/2008
Jadis, je me rap' elle
10/02/2008
*´¨ ) ¸.•´¸.•´¨) ¸.•*¨) (¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•
1239 : hello ...... [0 ] ....... [love]
1240 : Ecris un texte orgasmé
1241 : mais il me semble reconnaître là les mots
1242 :
1243 :
1244 :
1245 :
1246 : tu es chanceux(se) de croire cela,
1247 :
1248 : la réalité du virtuel est un reflet
1249 :
1250 :
1251 : tout cela est imaginé,
1252 : c'est moi qui ai écrit cela,
1253 : oui oui trop de complaisance
1254 : c'est eclairé... ...... [0 ] ....... [love]
1255 : la linéarité est une chose oripilante
1256 :
1257 : c'est vrai au point de vue
1258 : la sève créatrice monte provoquée par l'orgasme,
1259 :
1260 :
1261 :
1262 : ils sont pour la plupart en hp,
1263 :
1264 :
1265 :
1266 :
1267 :
1268 :
1269 :
1270 :
1271 :
1272 : 1272 ...... [1 ] ....... [love]
1273 :
1274 :
1275 :
1276 : l'avenir
1277 :
1278 : A+ ...... [0 ] ....... [20/20 (1 vote)]
04/02/2008
Rang donné aux Scythes : sublime
Quinze lis après la falaise Froide, j'atteins le Débarcadère, puis me dirige par une petite route vers la source aux Pêchers, qui se trouve au coté du temple de la Garde du Pays; ce dernier est en ruine, et les gens de l'endroit en ignorent tout.
Je suis Cime Nuageuse lancée à corps perdu sur un chemin tortueux, mais le soleil est déjà couché et en fin de compte, n'ayant nul gîte pour la nuit, nous devons demander la route du gouffre du Plan: il n'est qu'a une vingtaine de lis du Débarcadère, mais à présent par nos petits sentiers, c'est de trente lis qu'il faudra rebrousser chemin pour un gîte.
On s'égare, en vérité, à la source aux Pêchers!