
Ils ont tricoté leurs plus doux costumes: smokings, robes noires longues fendues, bagues, colliers, fatras d'or à vous violer les plus laides, une ou deux saintes comme à Londres ont chaussée leurs bottes de cuir.

Il lui raconta son nouveau métier et l'ancien, ses journées a sécher la sueur du monde, calfeutrant les aisselles, talquant le cul des sorcières, jetant au ciel un musc fleuri, masquant l'haleine des queues ne se lavant pas.

Tiens-toi tranquille ma douce, montre-nous un peu ton corps, voyez, voyez, nul n'est choqué, car nous ressentons la vie intérieurement; la lame crisse sur la chair comme un papier, le cri s'aiguise et blesse, je vois que nous souffrons : j'arrête car vos corps sont en moi désormais.

Toujours en ces instant, Simarre plonge dans les caves de Londres ou danse une foule nue, femmes et hommes musclés, bras au ciel vers quel dieu, je ne sais, Jocelyn danse aussi, convulsé, libre au tambour industriel.

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