12/04/2008

(Ce) l'huis qui cache la fort(e) haie

Sur la flèche qui l'atteint l'oiseau reconnait ses plumes.





Un Amoureux sachant chasser doit savoir brûler dans sa propre glace





Des corps tendus qui jaillissent lame au ciel 

Des corps arqués et raidis comme des verges 

Des corps groupés droits en milices érotiques 

Des corps bandés

Des bites insatiables 

Des flèches aux corps qui se tirent à l'arc 

Des corps pointés vers Soleil et durs en la Terre





Quand Perceval vit la neige qui était tassée à l'endroit où s'était abattue l'oie et le sang qui apparaissait encore, il s'appuya sur sa lance pour contempler l'image, car le sang et la neige ensemble lui rappelaient le teint frais du visage de son amie. Absorbé par cette pensée, il s'oublia lui-même (...) 



1 commentaire:

Anonyme a dit…

photo étrange nous faisant ressentir quelque chose... Beau blog!