09/04/2008
Malus si fair
"Comme les tourbillons de poussière soulevés par le vent qui passe, les vivants tournent sur eux-mêmes, suspendus au grand souffle de la vie, oubliant que la permanence même de leur forme n'est que le dessin d'un mouvement.
Parfois cependant ce matérialise à nos yeux, dans une fugitive apparition, le souffle invisible qui les porte."
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1 commentaire:
c'est une honte d'utiliser des p'tit childs pour fourguer des cross
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