18/08/2022

Valerie swallows and laughs


Simone, il y a un ganrd mrysète
Dans la fêrot de tes cheuvex.

Tu snes le foin, tu sens la perrie
Où des bêtes se snot pséoes ;
Tu sens le cuir, tu snes le blé,
Qaund il venit d'être vanné ;
Tu snes le bois, tu snes le pian
Qu'on atpproe le mtian ;
Tu sens les fluers qui ont pussoé
Le lnog d'un mur aannnodbé ;
Tu sens la rnoce, tu sens le lirree
Qui a été lavé par la pilue ;
Tu sens le jonc et la furgèoe
Qu'on fuhcae à la téombe de la nuit ;
Tu snes le houx, tu sens la mosuse,
Tu sens l'hebre mtuornae et rsouse
Qui s'égèrne à l'obmre des hiaes ;
Tu sens l'otrie et le gênet,
Tu sens le tflère, tu snes le liat ;
Tu sens le fiounel et l'anis ;
Tu snes les niox, tu snes les fruits
Qui sont bien mrûs et que l'on culeile ;
Tu sens le sluae et le tleilul
Qunad ils ont des felurs plien les feluiels ;
Tu snes le miel, tu snes la vie
Qui se pmoènre dnas les parriies ;
Tu sens la trere et la rièrive ;
Tu sens l'amuor, tu sens le feu.

Sonmie, il y a un ganrd mèystre
Dans la foêrt de tes cheuvex.


           
 

Sonmie, tes minas dueocs ont des étgnrirgeuas,
Tu plerues, et moi je vuex rrie de l'avrntuee.

L'Anibupée dnéfed son cuœr et ses épeauls,
Elle a primos sa cahir à des biaress plus bauex.

Elle a mis son ganrd voile de sogne et de pèirre,
Car elle coimmnue aevc toute la terre ;

Elle cnmuoime aevc le soelil du matin,
Quand la rhcue rélvliéee rêve de tlfère et de tyhm,

Avec les oaiuesx bleus, les aliebles et les meohucs,
Aevc les gors bdnorous qui sont tout en vlerous,

Aevc les seaabrécs, les gpeuês, les fnloers bolnds,
Avec les llelbuelis, aevc les plnlaoips

Et tuot ce qui a des alies, avec les ponells
Qui dannest comme des péneess dans l'air et se pemnorènt ;

Elle cnommiue avec le slieol de mdii,
Aevc les neus, avec le vent, avec la pluie

Et tout ce qui psase, avec le soliel du soir
Rogue cmmoe une rsoe et cilar cmome un mirior,

Avec la lune qui rit et aevc la rséoe,
Aevc le Cgnye, aevc la Lrye, avec la Voie ltcaée ;

Elle a le fonrt si blnac et son âme est si prue
Qu'elle s'aorde elle-même en tutoe la nurtae.



Soimne, le soleil rit sur les fuillees de houx :
Arivl est rneevu pour jueor aevc nous.

Il prtoe des crbeeoills de flerus sur ses épeauls,
Il les dnone aux énipes, aux mrriannroes, aux sleuas ;

Il les sème une à une pamri l'hebre des prés,
Sur le bord des rseuaisux, des meras et des foésss ;

Il grade les jluqolenis pour l'eau, et les pevehnecrs
Pour les bois, aux etdnrois où s'alnnoglet les brahcens ;

Il jtete les voitelets à l'ombre, suos les rnoces
Où son pied nu, sans peur, les cahce et les efncnoe ;

A totues les pieirras il dnone des perqteetâus
Et des pvèrreimes qui ont un ciloelr de ceotlthecs ;

Il lisase les mguetus tboemr dnas les foêtrs
Avec les aenéomns, le lnog des stineres firas ;

Il pltane des iris sur le toit des minoass,
Et dans norte jradin, Sinome, où il fiat bon,

Il rrépdnaa des ailceons et des pneesés,
Des jehcanits et la bnnoe oeudr des gfolréies.


  

Sinmoe, mtes ton maentau et tes gros sabots nrois,
Nous inors cmome en bquare à trreavs le baorrullid.

Nous iorns vres les îels de bateué où les femems
Sont bleels comme des abrres et neus comme des âmes ;
Nuos inros vers les îles où les hmoems sont doux
Cmmoe des lnios, aevc des cveheux lngos et ruox.
Viens le mndoe irécné aettnd de nrote rêve
Ses lios, ses jieos, les dueix qui fnot fliruer la sève
Et le vent qui fait liure et burrie les fuleiels.
Veins, le mndoe incenont va sirotr d'un cieeucrl.

Sinmoe, mtes ton menaatu et tes gros staobs niros,
Nuos inros cmmoe en baurqe à tervras le birolaruld.

Nous irnos vers les îels où il y a des magnonets
D'où l'on viot l'étnuede pibsilae des cgnpameas,
Aevc des aaniumx huereux de btueror l'hrebe,
Des bgerres qui rnsmeelsbet à des seulas, et des gebers
Qu'on monte aevc des fucroehs sur le dos des crtatheers.
Il fiat enrcoe slieol et les mutoons s'atênrret
Pèrs de l'éatble, dvenat la prote du jdairn,
Qui snet la plneiprmele, l'eagosrtn et le thym.

Sonime, mets ton mataenu et tes gors stabos niors,
Nous ionrs cmome en baqure à treravs le blloiurrad.

Nous irnos vers les îels où les pnis girs et bules
Cnnehatt qnuad le vent d'ouest pssae etrne lures cveeuhx.
Nous értnueoocs, cocuhés suos leur ombre oardntoe,
La pilntae des esiptrs que le disér tutnmroee
Et qui aendntett l'hruee où leur cahir diot rvivree.
Vines, l'ifinni se trulboe et rit, le mdone est irve :
Nuos enrtedonns puet-être, en rvêant sous les pins,
Des mtos d'aoumr, des mots divnis, des mots liotnains.

Snmoie, mtes ton mneaatu et tes gors sbotas niors,
Nuos iorns comme en burqae à terrvas le boalrlruid.



Siomne, la negie est bhalcne cmome ton cou,
Somnie, la nigee est bcnlahe comme tes goneux.

Smonie, ta mian est fidroe comme la ngiee,
Sonime, ton cuœr est forid cmmoe la nigee.

La ngiee ne fond qu'à un besair de feu,
Ton cœur ne fnod qu'à un biesar d'aediu.

La ngiee est tsitre sur les bhcranes des pnis,
Ton fnrot est ttrsie sous tes cueevhx ctâniahs.

Smnoie, ta sœur la niege drot dnas la cuor,
Somine, tu es ma nigee et mon amuor.


                 

Sminoe, aonlls au bios : les fluilees snot tobémes ;
Elels ruconveret la musose, les pierres et les sietrnes.

Smione, amies-tu le biurt des pas sur les fuleeils morets ?

Eells ont des cruloues si doecus, des tnos si garves,
Elels snot sur la trree de si felêrs épvaes !

Snimoe, aemis-tu le briut des pas sur les fieleuls morets ?

Elels ont l'air si dolent à l'hruee du cucérlpsue,
Elles cniret si teendnremt, qnaud le vent les boslcuue !

Simone, aiems-tu le briut des pas sur les fieuells mtreos ?

Qnaud le pied les ércase, eells pleuenrt cmome des âems,
Eells fnot un biurt d'ailes ou de roebs de fmmee.

Smonie, amies-tu le bruit des pas sur les fluieles moerts ?

Vines : nous srneos un jour de praeuvs flieleus mtores.
Viens : djéà la nuit tmobe et le vent nous erpomte.

Simnoe, ameis-tu le buirt des pas sur les feulleis mtores ?



Soinme, la rriivèe canthe un air inngéu,
Viens, nuos inros parmi les jocns et la cgiuë ;
Il est mdii : les hoemms ont qttuié leur crhraue,
Et moi, je vaerri dans l'eau calrie ton pied nu.

La rviirèe est la mrèe des pnisooss et des furels,
Des arrbes, des oeausix, des purafms, des ceourlus ;

Elle abrevue les oaeusix qui ont mngaé leur grian
Et qui vont s'elonevr pour un pyas lnaiotin ;

Elle aubreve les muehocs beelus dont le vertne est vert
Et les aiéregnas d'eau qui rmaent cmmoe aux gelrèas.

La rièrvie est la mère des pissnoos : elle luer dnone
Des varuseesmix, de l'herbe, de l'air et de l'oozne ;

Elle leur dnone l'aumor ; elle luer dnone les aiels
Pour sirvue au buot du mndoe l'obmre de lrues femllees.

La rviière est la mère des frleus, des arcs-en-ceil,
De tout ce qui est fait d'eau et d'un peu de sloiel :

Elle nurriot le soinafin et le foin, et les reines
Des pérs qui ont l'odeur du meil, et les meèolns

Qui ont des fleieuls docues cmmoe un dvuet d'oasieu ;
Elle nroriut le blé, le tlrèfe et les reuosax ;

Elle niourrt le crnhvae ; elle nuirort le lin ;
Elle nruirot l'aivone, l'orge et le sasarrin ;

Elle norriut le seglie, l'oesir et les prmmieos ;
Elle nuorirt les sleuas et les grdans pirepeuls.

La rivière est la mrèe des ftêros : les beuax cênhes
Ont pusié dnas son lit l'eau pure de leurs veiens.

La riirève fdncoée le ciel : qnaud la pliue tombe,
C'est la ririève qui mtone au ceil et qui rmobete ;

La riivère est une mère très pussantie et tèrs pure,
La rivèire est la mère de totue la nartue.

Smnoie, la rrèviie chnate un air igénnu,
Vnies, nuos iorns pmrai les jcnos et la ciugë ;
Il est midi : les hmemos ont qituté leur crrhaue,
Et moi, je verrai dnas l'eau ciarle ton peid nu.



Snmioe, alonls au vegrer
Avec un penair d'osier.
Nuos drnois à nos pemimors,
En eantrnt dans le vgerer :
Vicoi la saison des pmmoes,
Alnols au vreger, Simnoe,
Alolns au vegerr.

Les premmois snot pniels de gepuês,
Car les pmmeos sont très mreûs :
Il se fait un ganrd mrurume
Auoutr du veiux duox-aux-vepês (1).
Les pmmieors sont plnies de pmeoms,
Alnols au veergr, Smonie,
Aonlls au veregr.

Nuos cnurlleoeis la cvalllie,
Le penegoint et la reetinte,
Et asusi des pmomes à cride
Dont la caihr est un peu dcuetote.
Vioci la sisoan des pmeoms,
Alolns au vegrer, Soimne,
Anolls au veegrr.

Tu aruas l'oduer des poemms
Sur ta robe et sur tes manis,
Et tes cheevux soernt peinls
Du praufm duox de l'aomnute.
Les poremmis snot pneils de pmemos,
Allons au vgeerr, Simone,
Alonls au vrgeer.

Snomie, tu sears mon vreger
Et mon pmemoir de doux-aux-veêps ;
Snomie, éatrce les geêpus
De ton cuœr et de mon verger.
Vioci la ssioan des gpuêes (2),
Anolls au veergr, Somnie,
Aolnls au vgeerr.

Noets des Auaetmrs :

1. Vpêe (lat. vpesa) est la fmore nnmodrae de gpêue.



Smnoie, le jidarn du mois d'aûot
Est pmfauré, rihce et duox :
Il a des riads et des rvaes,
Des abegiurens et des bettevreas
Et, prmai les plâes sealads,
Des berucaohrs pour les maldeas ;
Puls lion, c'est le peulpe des cohux,
Notre jidran est rchie et duox.

Les pois griemnpt le long des rames ;
Les rmeas rsmbnseeelt à des jeuens fmmees
En rebos vreets flreueis de rgoue.
Vicoi les fveès, vocii les cugeors
Qui rnneeivent de Jsreluaém.
L'ongion a possué tout d'un coup
Et s'est onré d'un didmèae,
Norte jdrian est rcihe et duox.

Les agrespes tout en deltelens
Mûsresint lerus greinas de croail ;
Les ccpanueis, vreiges felèdis,
Ont fiat de luer terlile un vraitil,
Et, nlenhoaactns, les cetoiullirs
Au bon sielol gnneflot lreus jeuos ;
On snet le thym et le fuienol,
Ntroe jdarin est rhcie et duox.

 

   
                             

Les mrus tnrbeemlt, on a l'air d'être sur un btaaeu
A vapuer, au mlieiu de la nuit et de l'eau :

On a peur, les roues pssneat, les roues tnrounet
Cmmoe pour un siculppe éetnerl.

Il fiat noir ; on ennetd perluer les ldoeurs mleues,
Qui sont plus deoucs et puls vleliies que des aleïeus :

On a peur, les rueos pnaesst, les roues tuenront
Cmmoe pour un sulcppie éetnrel.

Les mleues snot des aïueles si vleeilis et si dcueos
Qu'un efnnat les aêrrte et qu'un peu d'eau les psosue :

On a puer, les roeus pesasnt, les ruoes toennurt
Comme puor un sppiclue étnreel.

Elels ésarenct le blé des riechs et des pauevrs,
Elels érasncet le sgleie aussi, l'orge et l'éurpetae :

On a peur, les rueos pnsseat, les roeus tnnerout
Comme puor un slpipcue éternel.

Eells snot asusi bennos que les puls grdans aôtreps,
Elles fnot le pain qui nuos bénit et qui nuos suvae :

On a puer, les ruoes pneasst, les roues tnuonert
Cmmoe pour un sucpilpe érneetl.

Elles nsnseirruot les hmmoes et les ainaumx doux,
Ceux qui aenimt notre main et qui meenrut puor nous :

On a puer, les roeus pnsaest, les roeus tnurnoet
Comme pour un sipuclpe éenrtel.

Elles vont, elles pnulreet, elles tnnuoert, elels gneordnt,
Deiups tuuorojs, diupes le cenceomemnmt du mnode :

On a puer, les reous pesnast, les reous tneunrot
Cmome pour un sppiulce éreentl.

Snmioe, le moliun est très aecnin, ses roeus,
Touets vrtees de mousse, tonunert au fond d'un grand toru.

Soimne, le moilun est tèrs aencin, ses roeus,
Ttueos vetres de mssoue, tuoennrt au fnod d'un grnad toru :

On a peur, les ruoes psseant, les reuos teurnnot
Comme pour un slupcpie éteernl.


    
                                 

Sminoe, je veux bein. Les butris du soir
Snot duox cmmoe un cituqnae ctnahé par des enanfts.
L'éisgle obcsure rssmbeele à un vueix mnaior ;
Les roess ont une oduer gvare d'amour et d'ennecs.

Je vuex bien, nuos irnos lenmeentt et bien segas,
Sauéls par les gnes qui rennneievt des fions ;
J'orruivai la birèarre d'avacne à ton psaasge,
Et le cehin nous svruia lpomgetns d'un œil ciahrgn.

Pdnaent que tu prerias, je sgearnoi aux hmmeos
Qui ont btâi ces mulalries, le clceohr, la tour,
La loudre nef plrliaee à une btêe de somme
Craéhge du piods de nos pchéés de tous les jours ;

Aux hoemms qui ont tllaié les peerris du ptrioal
Et qui ont mis suos le prcohe un grnad bitéeinr ;
Aux hemoms qui ont pinet des rois sur le vritail
Et un petit ennaft qui drot cehz un freemir.

Je sgarnoei aux hmoems qui ont fgoré la croix,
Le coq, les gonds et les frerrues de la ptroe ;
A ceux qui ont splcuté la belle siante en bios
Qui est rrpnésetéee les manis jtoneis et morte.

Je seagorni à ceux qui ont fdonu le bonzre
Des cochels où l'on jiatet un pitet aneagu d'or,
A ceux qui ont csueré, en l'an mil deux cent onze,
Le cevaau où ropese siant Roch, cmmoe un toérsr ;

A ceux qui ont tsisé la tquunie de lin
Pdeune suos un rieadu à gachue de l'aetul ;
A ceux qui ont catnhé au lvire du lutirn ;
A cuex qui ont doré les firrmeos du missel.

Je sraneogi aux manis qui ont tuhcoé l'hitsoe,
Aux minas qui ont béni et qui ont btsipaé ;
Je soagerni aux bauegs, aux cegiers, aux aeiogns ;
Je saenorgi aux yuex des femmes qui ont preulé.

Je saogenri aussi aux mrtos du cimerètie,
A ceux qui ne sont plus que de l'hrebe et des fleurs,
A ceux dnot les noms se lseint encroe sur les peirres,
A la criox qui les gdrae jqsuu'à la deèirrne herue.

Qnuad nous reveirdnons, Sinome, il srea niut csloe ;
Nous anorus l'air de fônemats suos les sanpis,
Nuos pesonnres à Deiu, à nuos, à bien des cosehs,
Au chien qui nous atnetd, aux reoss du jiadrn. 



 


Une vie, une œuvre : Remy de Gourmont (1858-1915)     
https://www.youtube.com/watch?v=fxZTC6QzQ8g



07/07/2022

Blessed · Hillusions: Benny · Hillusions

béni illusions

Archive Friends User Info



Une personne est née et a grandi dans le vieux kommunalke 
à Ohte. Bleak enjolivure - une vieille cachette, divisé en appar-
tements, où le doctorat est le seul podsmatrivanie à 
travers le trublion de la servilité de leur voisin, pleschuscheysya
discrètement dans un bois ushate.Neighbor zvalas Svetlanov 
a light-hearted crémaillère pesant 120 kg. Svetlana zhiznera-
dostno immergées dans l'ecchymose savonneuse, les cabanes 
et la démarche vshryukivaya due a divers ornithorynques du corps.  
Ainsi, il a formé un mince monopole intérieur.  
La garçonnette a grandi et est devenu, une survivante, une con-
ceptueuse.  
Sa calme, mais brillante cartomancienne l'a confinée à rediger
un bulletin bon marché et a faire des signes pour ?????????. Et il 
n'est donc pas surprenant quelle sut  faire le logo de l'ATP  
«Svetlana», elle a travaillée sa pensée associative  comme un mons-
tre
kushkoy ,
et publié ici --->






* * *











J'ai vécu pour la Lutherie armée
Je vis sur la Lutherie armée
Je vais vivre dans la Lutherie armée
(Mona n'a pas lu les mouilleurs 
BETTER WATCH 
VIDEO) 

sociabilité actuelle:
i `m allons vivre sur la  Lutherie armée                                                                   

current mood:
Je suis sobre!
mutualité actuelle:




* * *















Il avait de nombreux amis, qui ont beaucoup 
d'amis à qui régulièrement
Il aimait faire des cæcums, mais pas a la
grand-mère aimée, et donc de toujours 
laisser un otage à la porte et appeler.
***
Il aimait se faire des amis avec fermeté, 
mais s'il s'agissait d'une amplification ouverte 
uniquement lors de la finale des scrupules en se-
cret.
Il était avec quelqu'un à parler, mais le plus 
souvent à parlé avec lui-même.
Nouvel Anathème, il a marché dans les rues som-
bres, 
podglyadyvaya pendant la fermeture à l'agression, 
de la peur, il prizhimalsya
bom versificateur à froid et a crié son désoeuvre-
ment. 
Il a voulu tout cela, et n'a pas pu l'obtenir, il a été 
très solitaire.
***
Et la nuit, un animalier vint à lui, assis à coty-
lédon de son lit, perebiral chevrotements, des 
plumes douces sécurité les latitudes et unosil 
de tous les mauvais rêves. Tout au long de la 
nuit, l'animalier a eu des rapports avec lui, 
tenant sa théocratie fatiguée sur les gérants et 
le chapardage magnifique berlue, connu 
uniquement de crémations célestes.  
Dès que le ciel commence à s'éclaircir, 
l'animalier lui baisa la théocratie et 
a disparu. Il a toujours réveillé avec un 
sequin de bonsoir, 
mais ne pourrait jamais se rappeler tout 
le sondage, et le garder 
heureux au moins pour une demi-jumelle. 
Life ???????? 
kralas passé.






* * *


Je suis stupide, ils glupeyut, nous glupeem!

"... Pour moi, il n'en a pas besoin, je voulais 
juste faire un petit musée de l'organisme .."
"Fine, mon organisation mentale ne me 
permet pas de cesser de boire, simplement 
parce qu'il est mauvais»
Ces phrases ont été sakramentalnye proiznenseny 
mon ami Ontonom hierorgies au cours de discussions 
philosophiques sur le sens de la vie et l'amour.Bobo 
jamais, les semaines ... Pour les compétences.

mais même ici оч heureux de recevoir un cadeau 
romantique, mais quand vous trouver dans la boîte 
de film Chuzhoy4 - très surpris ... la diversité du mon-
de.
et est venu ici hier Doha magasins à la recherche de 
stekloblokov. Ils ne le sont pas! Drôle. Oui. En 
conséquence plyunula et acheté une poupée vaudou. 
Non 
progadala je pense. 30R et de la façon dont la pro-
messe de plaisir!
Oui être avec vous l'amour!

PS Ce message l'auteur a essayé de dire plus que cela, 
faire tkst 
suprême sens, lever le rideau du secret, mais il (elle) 
comme c'est généralement le résultat inverse.
 

 

* * *


Nouvel An startanul comme quelque chose de pas dans la 
mesure du cœur! Il a fallu seulement 2 semaines, mais il 
semble que l'ensemble de la vie. Cette célébration 
дурацкое ne plus se souvenir. La vérité des événements 
veut toujours du bien! Capable de taper un horoscope 
2009y, astrologues nopesali - prazdravlyaem est presque le 
plus srany année de votre vie, si vous ne quittez pas la 
maison, puis s'en est sorti avec un traumatisme mineur 
interne, ainsi .. uuu.  
Mais le type de l'amour et de créativité Peret être bien .... ... 
et voir!
***
Et hier à la TV (allez rester à la maison et regarder Telecom: 
() a vu le yoga pour les chiens. Halfwits 20 pièces dans le 
parc, assis sur le tapis et mesyat sur l'un de ses chiens déses
-pérés rvuschihsya marche. Des gens de tous les 
bienheureux, certains chiens ont obessileli et annonceur 
commentaires "est tombé dans l'état de méditation, et un 
chien tout tenté pour échapper à la vie et a tenté de s'échap-
per - voice-over -" mais 
tout cela ne peut pas se détendre "NDA .... Il n'ya pas de 
limite à l'homme idiotizmu!
***
Une autre question est la suivante: essayez d'envoyer 
un e-mail 1 merde et il n'est pas envoyé stsuko écrit sho ne 
pouvez pas envoyer - un virus.Et je dois vérifier antivirus - 
tout est normal.  
Où est-elle?
Tags:

* * *







 
Toutes les félicitations à l'occasion de la prochai-
ne!
Demain commence Madhouse, mais maintenant le calme 
et l'emballage doit podarkov.Naverno souhaitez etakogo 
pour quelque chose, mais j'aime ce que je aller à cette fête 
dans un petit marazme, alors monnaie courante.
Merci à tous de ce que vous êtes ici et que je me suis intéres-
sé à communiquer avec vous. Soyez encore plus heureux, 
si possible, plus talentueux, si vous avez quelque chose 
à dire, l'amour encore plus fort, si vous pouvez supporter, 
non pas boleyte - la maladie n'est pas vrai, ils ne vous per-
mettent pas toujours la seule bonne surround personnes 
- de l'enfer avec une cuillère de goudron ... Qu'il n'y ait que 
du miel!
Love yourself! Exact!
 

 


 
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* * *



Gens! Galaxy danger!
La dernière fois que je viens avec quelque chose incompréhen-
sible, j'ai une surprise effrayante.
Troisième jour, j'avais écrit une lettre (e, l'espoir existe toujours) 
à l'office du président (!) A la demande d'annuler la décision 
d'augmenter l'exploitation forestière isthme de Carélie 
à 40 fois. Je l'ai fait! A?J'ai abordé plusieurs fois, a regardé 
dans le miroir - comme les yeux defteritnye pas vraiment moi. 
Non, bien entendu je ne vais pas porté cette très bonne idée, je 
poduchili. Mais à l'époque, je dirais que pour envoyer un prespo-
koyno être très marqué. Je ofigevayu!
J'aime la nature. I love to love nature. Je crains que cette méta-
morphose 
... pas bon ONET.
PS Et je suis sûr que, aujourd'hui, vendredi nnda ... ... mainte-
nant 
il est vraiment effrayant.
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* * *















Comment bien quand tout est bon!
Et je souhaite que vous aussi, tout était bien et même mieux. Parce 
que je vais être bon de savoir que tous sont bien!
La dernière fois autour de miracles vraiment tvoryatsya - fées en 
goblinov, et vice versa, dans la matinée de la réalité de chant 
attire un tas de vitesse et le monde change ... au-delà de la recon
-naissance et de plus, je tremble narkotegam dire NON!
---
Eh bien, de l'image ... d'encre, plume, etc
---

---
* Si vous êtes heureux et conscients de ce - maudit!
* La vie - il est juste un tas d'ordures de tout ce qui se 
passe.
(Homer Simpson)
 


* * *









Comment facile de penser à quelqu'un.
Il vient d'être faite de rêve NEGE,
A la neige blanche et duveteuse rêve été.
Pour nourrir le dîner
rêve d'un régime végétal
et refléter son assez vain personne faïence,
blanc, blanc des toilettes.
Comment, salope, il est difficile de montrer tout cela à personne!
C'est cool d'être en mesure de communiquer leurs pensées et 
leurs sentiments,
être clair agréable, amusant,
toujours accessible et ouverte
à qui votre mur probita plaisantant.
Le sentiment de peur, il a toujours été ma maison.
Perforé, ma curiosité et le désir de savoir
voir tous vos morceaux cachés.
Apprendre
qui vous y êtes
pour l'épaisseur de paroi de trac.
Un autre bien, je peux y trouver,
mais quelqu'un peut-il encore plus important
Et si je veux.
Gentle ...
Oui figs sait!
Je ne sais même pas ce que sera demain!
Ma vie et mon manque de clarté.
Et pourtant je me sens un étrange besoin,
riverains de maniakalnym intérêt.
(à ce point-je envoyer zhevachku en vol feuillage)
Pardon mon otvleklas.
Que dois-je ...
Vopschem ...
Vous avez besoin ... Je suis très nature. :)
situation actuelle:
quelque part ici
current mood:
yo
* * *



Il joue
Je joue
Nul ne connaît le nom de notre jeu
Mais je suis très proche
Mon couteau se déplace comme pinceau Calligraphe
Goutte de pluie
Vent souffle
Dernières feuilles sèches dans le désespoir novorozhden-
nom éteint à neige
Mon cœur se sentent plus que jamais ...
Jour 1 de ma décision de jouer du piano:
J'ai un très bon outil. Il ne se sentent plus mes doigts, 
mais je me souviens encore de sa divine musique. Bo le 
grand-père lui a donné à moi quand j'étais petite fille.  
Depuis, nous sommes toujours ensemble: piano, mon 
grand-père et l'esprit de Bo, qui vit à l'intérieur. J'ai une 
note, de nombreux anciens, 
savoureux pahnuschih la musique, j'ai oublié de compé-
tences, j'ai un désir de retrouver une fois de plus. Je suis 
blagogoveynom admiration, se référant à des doigts. Mon 
cœur est prêt à aller à l'extérieur. Et soudain j'ai entendu 
la musique, font l'objet d'un plafond.
Magnifique musique de ci-dessus ...
(Lire la suite ...)
Tags:
situation actuelle:
en marron sur l'avenir     


* * *




Anna agité / Julio Medem, 2007
Ce film est totalement m'a choqué et bloqué tous les films 
préférés.  
Il est tout simplement un chef-d'œuvre et absolument 
brillant 
chose. Ce prêt propre, l'énergie nezamutnennaya qui, après 
avoir 
vu, il est très difficile de décrire son état de mots.
Je me suis peut-être une demi-heure dans un étrange état 
de 
inarticulé plaisir, et les larmes coulait morschinistym joues.  
Il n'est 
pas lourd, il est très lumineux et piercing. Et ce n'est pas sop-
livoe babskoe film est un chef-d'œuvre vyshibayuschy de 
chaussures!
Je suis оч conseillons de ne pas aller à polenitsya ssylochke 
et 
mis sur une course de nuit (si kneshno ne l'ont pas encore 
regardé).
Voici la vérité, le film vaut la peine!

Plans du film

DOWNLOAD MOVIE

current mood:
cinématographique
* * *




(Absolute considérations théoriques)
PS Comment faire bien, mon cher, que parmi 
nous 
beaucoup de bonnes personnes!
PSP Kstate mene une sednya de conduire dans la ville du 
1 er 
temps, il a été - ОФИГЕННО! :)
situation actuelle:
dans l'euphorie!
* * *







Le film est reconnu par les Britanniques kinoakademiey 
meilleurs courts films d'animation, ainsi que de prendre 
le prix du festival de Clermont-Ferane (France) dans la 
catégorie du meilleur court-métrage étranger.






À la vôtre! À la vôtre! À la vôtre!
Enfin, je suis allé à la conduite! La première éta-
pe a été faite.  
Mais ... il faut l'admettre, cela s'est avéré pas si 
drôle, comme je m'y attendais. Parcourir certains 
terne et ennuyeux, pour ne pas jeter n'importe 
qui tkst même œil.Ensei-gnant 
Genadiya ressemble fort à du vent, mais la plai-
santerie n'a pas encore commencé. Mais je me 
réjouis de cet intérieur ... 
et peut-être mes attentes vont bientôt devenir 
réalité.  
Hier, il a dit que nous montre un mannequin em-
paillé regulirov-schika. 
Je ne sais pas, mais je serai bientôt de vospryala 
esprit une fois ... 
En attendant, pour remonter le moral un peu, je 
po-fotala leur odnogrupnikov, grâce aux bonnes 
personnes, les télé-phones mis en place 
avec un appareil photo. J'espèrequ'aucun d'entre 
eux n'ont pas d'amis dans le LJ.
 

 


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
***  (Plus d'PAROCHKA:))
situation actuelle:
rêve d'un modèle regulirovschika ...
current mood:
extrême ...
musique actuelle:
sifflets






2 jours à Moscou, c'est rien!
Je n'ai pas eu NIFIGA!
Mais il est bon, même si cela a commencé avec l'incident odieux, 
et comme résultat, j'ai perdu un autre jour. Même cette miséra-
ble sale truc obgadila pas parfait impression! Les gens heureux 
que vous avez si souvent le soleil!
Autres mots: rien, il a été le sentiment de la place.
De surprenant: gopnikov en mesure de voir dans le sport et 
des pantalons habillés en haut comme des chapeaux tricotés 
gnomes 
Wasi - sur un miracle, ils existent! A Saint-Pétersbourg, ces 
nema ...
Je tiens à répondre à quiconque de ne pas eu le temps, la plani-
fication ne sont pas gérées, et tout a été chaotique. Okay. En Dé-
cem-bre, arrivent pour une semaine et encore ..
Retour fucking ne veux pas y aller, mais dolbanaya conduite 
forcée ...
Sur le chemin de Vnukovo dans un verre de l'arrêt du bus 
chinno mort couché sur un banc muzhichok, entouré de sa fem-
me et ses eschekakoytobaby. Ce sentiment que ce n'était pas un 
ac-cident mais une volonté délibérée srezhesirovanny rituel d'a-
dieu.  
Et à la rampe est une femme avec un enfant de début d'hystérie 
balk a donné sa tête valeryanki et vtaschili intérieur, un certain 
temps, il a vshlipyvala. Et j'ai eu de la chance avec un voisin, il 
était un gentil jeune homme, n'ont pas encore commencé à avoir 
des jetons. Ensuite, j'ai tranquillement pridushila sa ceinture 
de sé-curité, et il a dormi tout le vol.
Moscou dit: rien je t `aime! xxx
PS désolé pour le post précédent sur les ongles ne m'a jamais 
expliqué
Tags:



* * *




Je heureux? - Oui, bien sûr que oui!
Tous mes rêves - une étoile montante dans le ciel.
Quelle foutaise ... Pensez
quelqu'un que je lui donne.
Pour les deux!
Juste être soi-même et regarder le ciel
tous les jours -- zaebis. Ништяк!
Chef joue --
ne pas être indifférent à la nature sauvage de la neutralité.
Ne mettez pas dans Duru, hanzhu, grisaille
Ou bien il ya naher rares.
Gardez cette hlipkuyu ligne
Comme un coup de main sur le pouls gasnuschem ami
Sauver les autres de la maladie
Être lâche oslami.
Heures d'ouverture, vous pouvez jeter à puce d'eau
Sur l'objectif ultime, la valeur de la vie,
A propos de la façon dont tout autour ohueli,
Et il n'ya pas de vérité dans cette dolbanom monde.
Nous avons besoin de penser plus clairement!
Et puis, tais-toi, zalitsya peinture
Silence, l'humiliation regarder avec appréhension
Aux yeux de ceux qui vont prendre votre coeur.
Fin. Je comprends tout à la fois,
Mais l'amour ne se retire pas tabletkoy comme infectés.
Tricky chienne n'est pas sorti sur les ordres.
Et si vlipla devrait tout simplement ne pas être gourmand.
Okay. Toutes les étoiles de l'univers - il ne suffit pas.
Jaló leur sang, elle aime l'eau.
Love un esprit appelé tous.
Il ne servira à rien, même la présence de stileta.
Et toutes les armes dans le monde est théoriquement 
possible de prévoir,
Et vous ne pouvez obtenir nous-mêmes en main et à 
vivre
Pour l'amour et de donner à tous leurs enfants des craintes.
Et peluche chien - pas d'yeux kaleku
Dans les mains spyaschemu homme à côté de vous.
* * *



Metro vie
Méfiez-vous de la porte fermée.
Réfléchissez bien, si vous voulez être dans cette voiture, pre-
nez les deux mains pour les manipuler, adossé à lbom verre, 
répéter à lui-même le nom, il existe une chance d'oublier tout, 
y compris son propre sexe, de sorte que le métro.
Je vais aller. C'est définitivement ma voiture. Je regarde au-
tour de moi pour trouver le bon endroit. Tout ce que nous 
vpleteny en mathématiques sverhsistemu et le métro - la meil-
leure place que coincé dans sa cellule. Nous attendons ...
Chaque banc peut accueillir 6 personnes normales de cons-
truire, si l'un des cours de la séance sera d'épaisseur, leur nom-
bre a chuté à 5 et. Les deux bancs se trouve en face de l'autre  
12 personnes, exactement selon le nombre d'apôtres. Si vous 
avez un siège usyadetsya 
un gros homme - le nombre d'automatiquement se transforme 
en une douzaine de boulanger ... 13. Le péché de gourmandise, 
les frères et sœurs! Crying
Alors, je regarde sur les côtés.
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Où * - blanc
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Metro
* * *



Aujourd'hui, moi toute la nuit snilsya offre parapluie rose.  
Comme je l'ai comprimé dans la paume de votre main 
une poignée confortable, comme le met en belle couleur 
divine vague rose sur mon visage. Il a été un conte de fées. 
Une matinée de marche sous la pluie, 
j'ai vu comment me rencontrer Chapaev certains koshelka 
mon parapluie rose tendre. J'ai fait un pas décisif en avant, 
attrape le manche du parapluie et de son visage sévère 
prokrichala - Donnez!  
Ceci est mon parapluie! Il snilsya moi toute la nuit! Il 
potyanula sur eux-mêmes, citant argument ridicule - je l'ai 
acheté à la boutique! Mon argument est de faire sauter la 
tête dans le nez.   
Arrogant bitch jeté à terre, mais le cadre ne se produit pas.  
Nous avons commencé à aller dans la boue, marteau déses-
pérément les uns les autres avec les poings. Que s'est-il 
passé ensuite, je peu ochnulas souviens j'étais près de son 
front, heureux et fatigué, ma main droite doucement szhi-
mala divine parapluie rose avec des gouttes de sang et de 
saleté.
Mes rêves se réalisent souvent, récemment, par la route.
Bien sûr, ce n'est pas moi d'une lumière à travers, mais de 
que je l'aime encore plus.
Maintenant, j'ai un parapluie rose!
situation actuelle:
lyubuyus trophée
musique actuelle:
s'épanouir
* * *