10/04/2009

Est-ce que la beauté est là dans la vu(lv)e?


1 


O! Solitude, mon doux choix 

Lieux de la nuit, 

Télécommande de tumulte et du bruit, 

Comment avez-vous mes pensées agité en plaisir! 

O Dieu! ce que le contenu est le mien, 

Pour voir ces arbres qui ont appear'd 

De la nativité du temps, 

Salle et qui ont rever'd âges, 

Afin d'étudier au jour le jour en tant que frais et verts, 

Comme lors de leurs premiers furent beautés vu! 




2 


Un joyeux vent de tribunal vient, 

Et avec ces amoureux enfold souffle, 

Que nous par rien d'autre ne peut savoir, 

Mais par leur taille que ils sont vieux. 

Ici les demi-dieux ne mouche 

Pour demander l'asile, lorsque 

Une fois de déplaisante Jove pierc'd le ciel, 

De verser un déluge sur les hommes, 

Et sur ces branches ne mettre eux-mêmes, 

Quand on ne peut guère voir une vague. 



3 


Sad Philomel sur cette épine, 

Donc, curieusement, par Flora dress'd, 

En note de fusion, son cas triste, 

Pour me divertir, a confess'd. 

O! Comment une vue agréable 

Ces pendaison ne semblent Montagnes, 

Le malheureux qui invite 

Pour terminer toutes leurs peines ici, 

Lors de leur destin les fait endurer 

Ces difficultés, que la mort seule peut guérir. 



4 


Que faire assez désolations 

Ces torrents vagabond et féroce, 

Qui dans de vastes sauts abandonner leurs ressorts, 

Ce solitaire Vale à percer. 

Ensuite, glisser simplement faire comme les serpents 

Sous le pied de chaque arbre, 

Sont eux-mêmes changé de cours d'eau aussi, 

Que certains d'état Nayade, 

Comme dans son pays natal lit, est cultivé 

Une reine sur un trône de cristal. 



5 


Cette fen en proie à la rivière des plantes, 

O! comment il fonctionne mon sens charme! 

Ni les anciens, les roseaux, saules, ni vouloir, 

La forte qui acier n'a jamais tort. 

Voici les nymphes qui viennent de prendre l'air, 

Mai avec ces quenouilles furnish'd être, 

Comme drapeaux et se précipite peut établir, 

Lorsque nous les grenouilles agiles voir mai, 

Qui frighted retraite à faire voler 

Si l'approche d'un homme qu'ils espion. 



6 


Ici, l'eau-flowl jouir de repos, 

Sans l'interruption de soins, 

Lest Fortune devraient détruire leur bonheur 

Par la malveillance de Fowler piège. 

Certains ravish'd avec tellement lumineux par jour, 

Leurs plumes finement pruneau et le pont; 

D'autres amoureux de leur chauffe apaiser, 

Qui encore les eaux ne peuvent pas vérifier: 

Tous les innocents de leur contenu 

Dans ce beau leur élément. 


7 


De l'été, ni de l'hiver approche audacieuse, 

Ce volet n'a jamais divertir; 

Ni jamais senti un bateau ou en car, 

Alors que la saison ne soit rester. 

Pas de soif est venu près de voyageur, 

Et brusquement fait sa part sa tasse; 

Ni aucune arrière a chassé ici 

Son espoir a démissionné de la vie; 

Ni n'a jamais le traître crochet 

Intrusion de tout ruisseau vide. 


8 


Qu'est-ce que la beauté est là dans la vue 

De ces vieux château ruin'd-murs 

Dont la plus grande rage et spight 

Heure de l'insurrection pires chutes? 

Les sorcières tenir ici leur Sabbat, 

Et aveugle diables faire retraite. 

Qui malveillant dans le sport apparaissent, 

Notre sentiment à la fois à frapper et tromper; 

Et ici, au sein d'un mille trous 

Sont nid d'additionneurs et de hiboux. 


9 


Le corbeau avec ses cris lamentables, 

Cela augure mortel du sort, 

Ces affreux gobelins ratifie, 

Qui sombre dans ces lieux d'attente. 

Sur un arbre curs'd le vent ne déplacer 

Une carcasse qui ne font une fois 

Pour celui qui hang'd lui-même pour l'amour 

D'un juste Nymphe qui ne lui tort, 

Qui pensait avoir vu son amour et de vérité, 

Avec un coup d'oeil ne serait pas mettre les jeunes. 


10 


Mais le ciel qui juges un pied d'égalité, 

Et ses propres lois se maintiennent, 

Bientôt récompensé son cruauté 

Avec un puissant deserv'd et la douleur: 

A propos de ce misérable tas d'os, 

Son wand'ring et condamné l'ombre, 

Déplore dans le piercing et gémissements 

Le destin a fait sa rigueur, 

Et plus d'augmenter son droit, 

Son crime est toujours dans la vue. 


11 


Il antique à billes trac'd, 

Dispositifs du passé nous voir, 

Ici, l'âge ATH presque tout à fait defac'd, 

Que les amateurs de carv'd sur chaque arbre. 

La cave, ici, la plus haute chambre 

Reçoit lors de son vieux chevrons échec, 

Soil'd avec le venin et la mousse 

De l'araignée et l'escargot: 

Et th'ivy dans la cheminée nous 

Trouvez l'ombre d'un noyer. 


12 


Ci-dessous, il ne étendre une grotte, 

Où il est si sombre un Grot, 

Cela devrait lui-même le Soleil descendre, 

Je pense qu'il ne pouvait pas voir un iota. 

Ici, dans un sommeil lourd couvercle 

Dans la tristesse tranquille bloque sens, 

Et tous les soins qu'il ne interdire, 

Alors que dans les armes de négligence, 

Paresseusement sur son dos il propagation, 

Et des gerbes de pavot sont son lit. 


13 


Dans le cadre de ce frais et creux grotte, 

Où l'amour lui-même pourrait à son tour de glace, 

Echo pauvres ne cesse de rave 

Narcissus sur sa belle et sauvage: 

Ici je doucement voler une pensée, 

Et par la douce musique 

Avec un doux luth dans les charmes bien enseigné, 

Parfois, je flatter son ombre triste, 

Alors que les accords de ma-je faire ce choix, 

Ils servent de corps à sa voix. 



14 


Lors de ces ruines-je prendre ma retraite, 

Cette horrible rock-je faire envahir, 

Dont la noble front semble demander 

Sur quelles matières sont faites de brouillards: 

De là, descendant de loisirs 

Dans le cadre du front de la colline escarpée 

Avec grand plaisir que je apercevoir 

Undermin'd par les eaux, jusqu'à ce que 

Ils Palaemon à la montée n'a siège, 

Compos'd d'éponges et de limon. 



15 


Comment est la très envie pleas'd 

Pour être sur la rive de l'océan, 

Quand elle commence à être appeas'd 

Et qu'elle était farouchement billows cesser de rugir! 

Et quand les poils sont Tritons 

Riding secoué à la vague, 

Avec ce que d'étranges sons qu'ils grève de l'air 

De leurs trompettes rauque et courageux, 

Dont les rapports ne strident tout vent 

Jusqu'à la présentation qui lui est dû lier! 



16 


Parfois, la mer dissipe le sable, 

Tremblements et murmure dans la baie, 

Et Rolls elle-même à l'obus 

Qui apporte à la fois et enlève. 

Parfois exposés sur le volet, 

Th'effect de Neptune de la rage et de mépris, 

Drown'd hommes, des monstres morts exprimés sur la terre, 

Et les navires qui étaient en tempêtes déchiré, 

Avec les diamants et ambergreece, 

Et bien d'autres choses telles que celles-ci. 



17 


Parfois, si elle ne gentiment sourire, 

Un miroir flottant, elle serait peut-être, 

Et vous auriez envie que si tous les 

Nouveaux cieux dans son face-à-voir: 

Le soleil lui-même est appelée si bien, 

Quand il ya son image vue, 

Que notre oeil ne peut guère dire 

Quel est le faux soleil, ce qui le vrai; 

Et de peur que nous donnons à nos sens, le mensonge, 

Nous pensons qu'il est tombé du ciel. 



18 


Bernières! dont bien-aimé 

Mes pensées vont à un noble de troubles, 

Cette fantastique mon landskip prendre, 

Que j'ai copié à partir de la vie. 

Je ne chercher les déserts, bruts, 

Où tout seul je marche à l'amour, 

Et avec assez de discours refin'd, 

Mon génie et de l'Muses parler; 

Mais l'inverse est plus vraiment le mien, 

Est-ce que la chère mémoire de toi. 



19 


Tu à trouver ce poème, 

Alors, plein de liberté et de la chaleur, 

Qu'est-ce que les rayons illustres ont shin'd 

Pour éclairer ma vanité: 

Parfois, songeurs, parfois homosexuels, 

Tout comme la fureur qui ne contrôle, 

Et comme je l'objet d'enquête 

Les notions grandir dans mon âme, 

Et sont les unconcern'd et libre 

Comme la flamme qui m'a transporté. 



20 


O! comment je Solitude adorer, 

Cet élément de plus noble esprit, 

Lorsque j'ai appris Apollo's lore, 

Sans les douleurs de l'étudier: 

Pour ton amour dans l'amour, je suis cultivé 

Avec ce que ta fantaisie ne poursuivent; 

Mais quand je pense à mes propres, 

Je le hais pour cette raison aussi. 

Car il a besoin doit entraver moi 

De voir et de te servir. 


4 commentaires:

Snow White a dit…

SUBLISIMOMO!

ariaga a dit…

Ouh La la, ton post fait exploser ma libido; toi, c'est autre chose que le collectif des cauchemars ambulants qui pu du bec qui viennent transpirer sur mon blog.
Je voudrais que tu me pisse à la raie toute la nuit.

John Pearson a dit…

Hé dis-donc D'Ark c'est une chance unique! tu devrais t'exécuter et lui pisser à la raie, tu gagnerais surement toute sa bande de pu-du-bec comme lecteurs, tout un tas de face-de-bouc d'un seul coup!

Jean Dark a dit…

T'as raison John sûr que je lui pisse à la raie à cette dégénérée du bulbe