22/06/2007

Transmogrifications aetherics

Il y a pression.
En dehors de cette pièce. Elle est cinétique.
C'est une main couverte de charbon.
Une bavure massive le long du vestibule.
C'est une fente a l'intérieur.
Le papier peint humidifié par cent vieilles colles d'an, rétracte et créer des trous.



À l'intérieur de la pièce, où je suis, je peux la sentir.
La lumière est allumée, une lumière jaune qui s'attarde comme une vapeur.
Elle se laissait tomber, mais elle est arrêtée.
Elle apparaît indistinctement à mi-chemin dans le ciel.
Elle sait aussi ce qui vient.
La fenêtre dans le mur, bien que mon dos soit tourné à lui, permet une image que je ne m'inquiète pas pour voir.
Le vert-foncé des arbres, le vent. Le ciel est devenu un mausolée.
Lumière jaune. Moule. Tapis humide sous une fenêtre ouverte.
Ouais, le jour est léché pour sûr maintenant.
Bientôt, mon enfant pâle, le soleil se retirera complètement et nous nous assiérons.
Je serai avant vous. Comment devez-vous être ?



Ah, hybrides, pâlissez, je dites-vous une fois de plus, comment dois-je être.
Hélas, vous avez la volonté des démunis.
Une autre main désolée avec des bouts de doigt rampe vers le haut de l'intérieur de votre cuisse.
Réveillez-vous MAINTENANT ! (nom du père, du fils, du saint fantôme)
Je n'ai pas besoin de tourner autour pour savoir.
Il y a une électricité maintenant.
Quelque part dedans, ici, elle est allumée.
Dans cette petite maison au fond de cette montagne. Dans ce petit espace, agrafé et accroché, cloué autour d'une armature en bois.
Putréfaction.
Le jour est retiré.

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