20/02/2008

Combustion des lettres

J'ai fait un feu ; étant fatigué
Des poings blancs de
Lettres et leur hochet de mort
Quand je suis venu trop étroitement près de la corbeille à papiers
Qu'ont-ils su que je n'ai pas fait ?
Grain par grain, ils ont roulés
Sables ou rêve d'eau claire



Je ne suis pas subtile
Amour, amour, et bien, j'étais fatigué
Des cartons couleur ciment ou d'une meute de chien
Se tenir dedans c'est de la haine
Faiblement, sous une meute d'hommes en vestes rouges,
Et les yeux et les temps des cachets de la poste.



Ce feu peut lécher et faiblir, mais il est impitoyable :
Un casier en verre où
Mes doigts entreraient si bien                                                                                                                   Qu'ils fondent et fléchissent, ils ont dits
Ne pas toucher.
Et voici une extrémité de l'écriture,
Les crochets vifs qui se plient et se tapissent et les sourires,                                                                        les sourires et au moins ce seront un bon endroit maintenant, le grenier.
Au moins je ne serai pas ficelé juste sous la surface,
Poissons sourds-muets
Avec un oeil de bidon,
Observant dans des reflets,
Monde Arctique
Entre ce souhait et ce souhait.



Alors, je pique les oiseaux de carbone dans ma robe d'intérieur.
Ils sont plus beaux que mon hibou sans corps,
Ils me consolent, Se levant et volant, mais aveuglés.
Ils s'envoleraient, noirs et scintillants, ce seraient des anges de charbon.
Seulement, ils n'ont rien à dire que personne.
J'ai veillé à cela.
Avec la crosse d'un râteau, j'écaille des papiers qui respirent comme des gens,
Je les évente dehors
Entre les laitues jaunes et le chou allemand
Impliqués dans lui est de rêves bleus étranges
Impliqué dans un foetus.
Et un nom avec les bords noirs



Se fane à mon pied,                                                                                                                               Orchidée sinueuse
Dans un nid de racines-cheveux et de l'ennui--
Yeux pâles, gutturales en cuir verni !
La pluie chaude graisse mes cheveux, rien ne s'éteint .
Mes veines rougeoient comme des arbres.
Les chiens déchirent un renard. Est ce comme ce qu'il est
Un éclat lui et un cri                                                                                                                                           Qui se sépare de son sac déchiré et ne s'arrête pas
Avec cet oeil mort
Et l'expression bourrée, mais continue
Teignant l'air,
Disant les particules des nuages, les feuilles, l'eau
Qu'est-ce que l'immortalité. Qu'il est immortel.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

D'ou ellle sort celle-là?

Anonyme a dit…

Je sais pas mais je lui trouve un petit air yéti ....
hé! ass s'raie pas évadée d'mon journal?