03/01/2007

Pervigilium Mortis

Le long du bois couvert de givre, je marchais; mes cheveux devant ma bouche se fleurissaient de petits glaçons, et mes sandales étaient lourdes de neige fangeuse et tassée.



Il me dit : Que cherches-tu ?
- Je suis la trace du satyre. Ses petits pas fourchus alternent comme des trous dans un manteau blanc.
Il me dit : Les satyres sont morts. La trace que tu vois est celle d'un bouc

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