25/05/2007

Leet iS s'pique

El Desditl'avenir

Je vois, c'est ténébreux, je vois votre adorée
Princesse aux beaux atours, ma boule est assombrie.
L'astre éclatant se meurt, la volute enfumée
Porte le deuil du jour, le soleil est terni.

Dans la nuit vous sortez d'un tombeau, rassuré.
Face au volcan, la mer : Rendez-vous à Capri
Où devant cette fleur vous allez succomber ;
Un coteau, une vigne, elle dit « c'est fini » !

Capricorne ou cancer ? Non c'est plutôt poisson,
Les yeux corail de feu, vous avez de la peine
À nager, c'est grotesque, auprès de la sirène.

Par deux fois vous tirez la carte d'Orion :
Modérez le délire, au long de cette année
Aux soupirs et aux cris vous serez abonné.



Dos, caddy d'aisselles

Fellah, décris-les, tes seins las de pire soûle,
Fédor, relies l'azur tour à tour lent du mot
Rond qu'hélas est vers traqueur - vingt fois de jet - et
Reine si l'âge n'a tout gros, là, dans vert et jais.

Haine : l'art d'Eusèbe éduque orge enroué : front. Mon
Rond, bille où, niant s'il eut bus, faire, où mou, jà, suit.
Lis ça : zéro ! l'âpre à Pan, le Youtre là et
Les eaux des coeurs montent à temps et plaisent qui fleurent là.

Lis ! T'as dit « Merle happé » ? Lis : Zippo le moirant
Laisse au con maquis, toi, beau tondu, nuis l'Adam
Lit collant mais là, de noir : l'aye ! sot le porte !

Laisse tes cons ! Lutte ! Monte et mords l'étoile et ce mât
Lies borate où la natte est Kid à serein l'hep !
Les sauts qu'on l'un : veuf, l'Hébreu n'était. Le suis-je ?



El Bombyxado

Je suis l'industrieux, — le ver, — l'incoconné,
Le prince arboricole à la mûre abolie :
Ma fine toile est forte, — et mon nid façonné
Porte le bel espoir d'une étoffe jolie.

Dans la nuit du cocon, toit qui m'a couronné,
Dormant en chrysalide à l'humeur amollie,
La feuille qui plaît tant à mon corps ballonné
Est la table où ma panse a son oeuvre accomplie.

Suis-je Ariane ou Clotho ?... Pénélope ou Charon ?
Mon fil est robe au corps doux baisé de la reine ;
J'ai bavé dans l'étoffe où nage la sirène...

Et j'ai vu toutes deux traverser l'Achéron :
Reposant corps à corps sur les rives du Styx,
La soierie et la sainte, et l'arbre du bombyx.



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63|24|2 2 //3|2\/@|_



LSIKO (DOT)
(El 'es'icha'o ("d" ôtés))


UZLSLAFACGVQ
Usé, délaissé, las, effacé j'ai vécu
OPIDKDJAVRIT
Au pays des cadets* - j'y avais hérité.
FMRSLSTDCDAQ
Éphémère et céleste, et décédé accu,
LIOCGGMAILUTT
Hélios est de jais : émaillé luth était.
 
 
HLMAKBAPZRID
Ah ! chez les macchabées, apaisé, déridé,
JREVQDOPIZMR
J'y ai revécu des hauts pays et des mers,
FEILXIAMLLHRID
Effeuillé l'ixia, et mêlé - la chère idée, -
BROZSUJLSMNR
Baie et rose et, déçu, j'y ai laissé mes nerfs.
 
 
SUIGVKBMYEGT
Et suis-je évêque, abbé, émigré que j'étais ?
MUGSUILEBZMRN
Ému, j'ai essuyé le baiser d'aimée reine.
NAIADKIEZEKVZN 
Et naïade écailleuse, et de cavés édens...
 
 
WGVILEADCKT
Double, vais-je éveiller le Hadès, Hécate et
VGCILROIQZMAJ
Vais-je essayer l'héroïque, user des magies ?
MULABATMFRUJ
Émue est la béate, et aimée, fée rugit.

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